MA NAVETTE MARINE
Chapitre I
Agée de deux ans ou presque…, elle faillit une noyade
En jouant avec Daly son petit camarade
Au bord de la mer même pas à un mètre de celui-ci…
Bonté divine, un grand merci.
Agée de cinq ans, une autre immersion
Mais cette fois-ci sauvée à temps…
Par deux touristes allemands en mission
De sauvetage, ce matin à la plage
Au bord d’une mer calme et non agitée
Sélection de villas de la haute société
Sur la côte d’une des meilleures plages de la région,
Me rappelant une des îles de l’Archipel des Maldives
Où les yachts s’emmêlent à la dérive
Dans une mer de rêves,
Elle est adorable cette petite fille qui rêve
Mais en pleurs par ce qui venait de se passer tenant à la main
Des bonbons remis par Germain
Le sauveteur et l’ange gardien
Quelle belle journée ensoleillée
Sur une plage brillante de sable dorée
Une mer bleu limpide et convoitée
Où s’emmêlent les barques et les pédalos
Les pieds dans l’eau
Des touristes enivrés bronzant, fondant
Sous un soleil étincelant
D’un beau matin d’été décrivant des têtes multicolores
Alignées de loin semblables à des marionnettes indolores
Sur une extraordinaire baie des tropiques
Buvant leurs jus de fruits exotiques
Savourant ces merveilleux moments féériques
Sans oublier les profondeurs aquatiques
Lorsqu’on y est, on se croirait dans un jardin d’Eden marin
C’est magnifique et impressionnant, un instant de rêve sans lendemain
Une flaque d’eau de cinq mètres de profondeur ou plus…Bonté divine
Se trouvant au milieu d’une grotte marine
Peuplée d’espèces marines de différentes origines
Coin paradisiaque en pleine mer de nature divine inexploré
Par les savants marins de grande renommée…
A Suivre….
************************
Suite...
Petite navette marine … Bonté Divine…
Chapitre II
La petite navette humaine, se croyant toujours une navette marine
Devant découvrir à tout prix un monde marin sans limites,
A cette période, elle avait huit ans, et sage,
ne s’aventurait guère dans les parages,
ou du moins je le croyais, et voilà repartie…
A l’aventure…se croyant peut-être mature
Vers la grande forêt de pins
Dégageant une odeur de romarin
Peter Pan, à petits pas tapants
Rebroussa chemin en faisant les milles pas, mais en vain
Marchant un long moment d’un air inquiétant
Perdit la piste imminente du retour fatal
Un bruit de pas approchait de loin, croyant un animal
Ce furent des passants en exploration
Dans la montagne de thym et de romarin en éclosion
En randonnée dans ces bois hallucinants où des eaux ruisselantes
faisaient entendre un bruit sournois et sinistre
me rappelant les films d’exorciste
Bref, elle rentra à la maison toute pâle
Tout son corps tremblait, elle avait froid et mal ,
Oui à force de marcher, ses petits pieds naïfs
Ont fondu de malaises insupportables et intensifs
Suite à toutes ces dures épreuves, elle se jeta sur son lit douillet
Après un bain chaud dans une baignoire plein de jouets
Ne se réveillant qu’au petit matin
Afin de recevoir de la part de maman beaucoup de câlins
Oubliant les yesterdays malsains
Pour savourer les tomorrows opportuns
D’un avenir bien chargé d’une adolescence
Encore mouvementée et perturbée comme à l’accoutumance
La distraction persiste et nous n’avons pas encore trouvé notre piste
L’issue est encore loin…Mais aussi nous devons prendre soin
De ce petit être en voie de croissance fragile
Soyons habiles, monsieur et madame Achille
Suite à tous ces fracas, ressemblant à ces fameux contes d’enfant,
Une période calme, vécue paisiblement
Dans les prairies fleuries des champs.
L’aventure reprend de plus belle….
Cette fois-ci pire, plus grave et rebelle, elle avait quatorze ans…
D’un air à la fois révoltant et défiant,
Rouspétât à la suite d’une annonce dans la zone où elle était, déclarant :
« Attention, il y a un requin dans les parages »
Sortez de la mer et quittez les plages
Et Mimine qui n’écoutait personne, à la nage sans aucune rage
Ne se doutait de rien, s’avançait avec innocence
Dans ce grand bleu vaste et trompeur dans un sens
C’était un silence profond, comme si un danger
Allait arriver dans les plus proches délais…
Comme on dit le silence avant la tempête ,
Les mouettes survolaient la mer dans tous les parages
On aurait dit que le requin en rage affamé s’approchait du rivage
Me rappelant « les Dents de la mer »
Pas d’angoisse ni de panique, sereine,
Elle s’avançait comme une reine
La peur disparaît pour laisser la place à la quiétude,
se sentant dans un autre monde de plénitude dans ce triangle des Bermudes,
son monde à elle, la plus belle des tourterelles
Un silence de mort se fit sentir dans l’élixir de ce grand bleu
Elixir imprévisible et douteux défié par une petite navette des mers
Du pays d’Alice au pays des merveilles, c’est le monde de Mimine
Seule en pleine mer… savourant ce rare et beau moment
Jamais ressenti auparavant,
J’aperçu de loin la vedette de la police côtière
S’approchait vers moi, mais je me sentais sereine, mon corps en émersion
Flottant heureuse comme un papillon
Soudain, je sentis des bras forts autour de moi,
C’était Germain mon sauveteur et le maître nageur de la zone marine en plein émoi,
Enfin, rassuré , il me sortit du danger que je courais,
Cependant, ce n’est qu’en arrivant à la plage des Raies
Que je m’apercevais que je l’avais échappé belle
De ce fameux requin en rage, affamé et rebelle
qui rôdait réellement près de l’endroit où je me trouvais
Devant découvrir à tout prix un monde marin sans limites,
A cette période, elle avait huit ans, et sage,
ne s’aventurait guère dans les parages,
ou du moins je le croyais, et voilà repartie…
A l’aventure…se croyant peut-être mature
Vers la grande forêt de pins
Dégageant une odeur de romarin
Peter Pan, à petits pas tapants
Rebroussa chemin en faisant les milles pas, mais en vain
Marchant un long moment d’un air inquiétant
Perdit la piste imminente du retour fatal
Un bruit de pas approchait de loin, croyant un animal
Ce furent des passants en exploration
Dans la montagne de thym et de romarin en éclosion
En randonnée dans ces bois hallucinants où des eaux ruisselantes
faisaient entendre un bruit sournois et sinistre
me rappelant les films d’exorciste
Bref, elle rentra à la maison toute pâle
Tout son corps tremblait, elle avait froid et mal ,
Oui à force de marcher, ses petits pieds naïfs
Ont fondu de malaises insupportables et intensifs
Suite à toutes ces dures épreuves, elle se jeta sur son lit douillet
Après un bain chaud dans une baignoire plein de jouets
Ne se réveillant qu’au petit matin
Afin de recevoir de la part de maman beaucoup de câlins
Oubliant les yesterdays malsains
Pour savourer les tomorrows opportuns
D’un avenir bien chargé d’une adolescence
Encore mouvementée et perturbée comme à l’accoutumance
La distraction persiste et nous n’avons pas encore trouvé notre piste
L’issue est encore loin…Mais aussi nous devons prendre soin
De ce petit être en voie de croissance fragile
Soyons habiles, monsieur et madame Achille
Suite à tous ces fracas, ressemblant à ces fameux contes d’enfant,
Une période calme, vécue paisiblement
Dans les prairies fleuries des champs.
L’aventure reprend de plus belle….
Cette fois-ci pire, plus grave et rebelle, elle avait quatorze ans…
D’un air à la fois révoltant et défiant,
Rouspétât à la suite d’une annonce dans la zone où elle était, déclarant :
« Attention, il y a un requin dans les parages »
Sortez de la mer et quittez les plages
Et Mimine qui n’écoutait personne, à la nage sans aucune rage
Ne se doutait de rien, s’avançait avec innocence
Dans ce grand bleu vaste et trompeur dans un sens
C’était un silence profond, comme si un danger
Allait arriver dans les plus proches délais…
Comme on dit le silence avant la tempête ,
Les mouettes survolaient la mer dans tous les parages
On aurait dit que le requin en rage affamé s’approchait du rivage
Me rappelant « les Dents de la mer »
Pas d’angoisse ni de panique, sereine,
Elle s’avançait comme une reine
La peur disparaît pour laisser la place à la quiétude,
se sentant dans un autre monde de plénitude dans ce triangle des Bermudes,
son monde à elle, la plus belle des tourterelles
Un silence de mort se fit sentir dans l’élixir de ce grand bleu
Elixir imprévisible et douteux défié par une petite navette des mers
Du pays d’Alice au pays des merveilles, c’est le monde de Mimine
Seule en pleine mer… savourant ce rare et beau moment
Jamais ressenti auparavant,
J’aperçu de loin la vedette de la police côtière
S’approchait vers moi, mais je me sentais sereine, mon corps en émersion
Flottant heureuse comme un papillon
Soudain, je sentis des bras forts autour de moi,
C’était Germain mon sauveteur et le maître nageur de la zone marine en plein émoi,
Enfin, rassuré , il me sortit du danger que je courais,
Cependant, ce n’est qu’en arrivant à la plage des Raies
Que je m’apercevais que je l’avais échappé belle
De ce fameux requin en rage, affamé et rebelle
qui rôdait réellement près de l’endroit où je me trouvais
Ma foi….. Quelle aventure sordide, tu sais !!!!!!
Oups !!!!!!!
Sauvée par le GONG !!!!!!
Ma distraction cette fois-ci, m’a joué des tours de mauvais goût
Quel dégoût !!!!!...Quelle peur à la fin !!!!!
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